Lumière infrarouge et AVC : prévenir et récupérer

Lumière infrarouge et AVC : prévenir et récupérer

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Les accidents vasculaires cérébraux (AVC) sont une des principales causes de mortalité et de handicap dans le monde. La recherche de nouvelles méthodes pour prévenir les AVC et améliorer la récupération des patients est donc cruciale. Parmi ces méthodes, la thérapie par lumière rouge et infrarouge — dispensée notamment via des panneaux LED infrarouges spécialisés — suscite un intérêt croissant. Cette technique, aussi appelée photobiomodulation, est non invasive, sans médicament, sûre et utilisable à domicile. De plus en plus d’études suggèrent qu’elle pourrait améliorer la santé vasculaire, stimuler la circulation cérébrale, réduire les lésions neurologiques dues à un AVC, et accélérer la rééducation motrice et cognitive des patients.

Dans cet article, nous expliquons de manière pédagogique comment la luminothérapie infrarouge agit sur l’organisme et quels sont ses bienfaits potentiels pour prévenir un AVC ou aider à la récupération post-AVC, en nous appuyant sur des données scientifiques solides.

Une thérapie prometteuse pour les patients victimes d’AVC

Les professionnels de santé intègrent de plus en plus la luminothérapie rouge/infrarouge dans le protocole de traitement des accidents neurologiques. Que ce soit pour des patients victimes d’AVC, de traumatisme crânien ou d’autres troubles neurodégénératifs, cette thérapie est perçue comme un complément prometteur pour accélérer la guérison globale de l’organisme. En effet, la photobiomodulation par LED s’est montrée bénéfique dans divers contextes de santé, en réduisant l’inflammation et en stimulant les fonctions des cellules cérébrales, notamment via la restauration mitochondriale, la neurogenèse et la modulation des réponses neuro-inflammatoires. Ces résultats ouvrent de nouvelles perspectives thérapeutiques pour la prise en charge des lésions neurologiques. Dans le cas d’un AVC, en complément des traitements médicaux classiques (médicaments, rééducation, etc.), l’utilisation régulière de panneaux de lumière infrarouge pourrait favoriser une récupération plus rapide et plus complète du patient.

AVC

Comment la lumière infrarouge soutient la guérison du cerveau

Une des clés du potentiel thérapeutique de la lumière infrarouge réside dans ses effets biologiques au niveau cellulaire et vasculaire. Des recherches menées par le Dr. Michael Hamblin et d’autres experts montrent que la lumière rouge et infrarouge réduit l’inflammation cérébrale, un facteur majeur de lésions neurologiques après un AVC [1]. En diminuant l’inflammation, on limite les dommages aux neurones et on crée un environnement plus propice à la récupération. Parallèlement, cette luminothérapie stimule la neurogenèse, c’est-à-dire la formation de nouveaux neurones et de connexions neuronales, et favorise un renouvellement cellulaire actif, permettant au cerveau de réparer certaines zones endommagées et de restaurer progressivement ses fonctions cognitives et motrices [2].

De plus, la lumière infrarouge améliore la circulation sanguine cérébrale. Elle provoque une vasodilatation (dilatation des vaisseaux sanguins) et favorise même la création de nouveaux capillaires à partir des vaisseaux existants (angiogenèse) [1]. Cet afflux sanguin accru apporte plus d’oxygène et de nutriments au tissu cérébral, soutenant ainsi les zones du cerveau en souffrance après un AVC. En améliorant la circulation sanguine, la lumière infrarouge aide à mieux oxygéner le cerveau. Elle peut aussi, dans certains cas, apaiser le système nerveux et favoriser un rythme cardiaque plus stable, ce qui est particulièrement précieux durant les premiers mois suivant un AVC, une période cruciale pour soutenir la récupération du cerveau. Les patients peuvent en tirer des bénéfices en termes de fonctions cognitives (mémoire, concentration…) et de meilleure récupération des zones touchées.

Un autre aspect fondamental est l’action de la lumière rouge/infrarouge sur les mitochondries, les centrales énergétiques des cellules nerveuses. Après un AVC, les neurones manquent souvent d’énergie et entrent en dysfonctionnement mitochondrial, ce qui peut mener à la mort cellulaire et aggraver les séquelles neurologiques. La photobiomodulation est connue pour restaurer le bon fonctionnement mitochondrial dans les neurones [1]. Concrètement, exposer les cellules à des longueurs d’onde rouges et infrarouges stimule la production d’ATP (la molécule énergétique cellulaire) et empêche la dégénérescence neuronale due au manque d’énergie. Des études ont mesuré jusqu’à +157% d’augmentation de l’ATP dans le cortex cérébral dans les heures suivant un traitement infrarouge à 808 nm [10]. En fournissant cette énergie supplémentaire aux neurones, on ralentit leur mort programmée et on réduit l’étendue des lésions neurologiques après un AVC.

Pénétration de la lumière infrarouge dans le cerveau

Un avantage des longues longueurs d’onde infrarouges (NIR) est leur capacité à pénétrer les tissus en profondeur. Contrairement à la lumière visible classique, les ondes NIR peuvent traverser le crâne et atteindre directement le cerveau. Ainsi, en positionnant un panneau LED infrarouge puissant près de la tête (par exemple face au front), on peut illuminer le cortex cérébral en quelques minutes de séance [2]. Des travaux scientifiques confirment que les photons NIR passent à travers les os du crâne et sont absorbés par les mitochondries des neurones corticaux, initiant ainsi les processus bénéfiques décrits précédemment [2].

Il existe différentes manières d’administrer la photobiomodulation au cerveau. En milieu clinique, certaines approches expérimentales utilisent des diodes laser insérées par voie intraveineuse ou intra-artérielle, ou encore des sondes nasales qui diffusent la lumière par la cavité nasale jusque dans la boîte crânienne. Cependant, ces méthodes particlulièrement invasives ne sont pas nécessaires pour obtenir des effets positifs sur le cerveau. L’utilisation régulière de panneaux LED infrarouges sur la peau (par exemple sur le front, ou même sur d’autres parties du corps) peut aussi apporter des bienfaits systémiques qui rejaillissent sur la santé cérébrale. En effet, la photobiomodulation a des effets à distance : traiter une autre zone du corps peut induire des réponses anti-inflammatoires et neuroprotectrices générales. Par exemple, stimuler la région abdominale avec de la lumière NIR s’est révélé avoir des effets neuroprotecteurs indirects sur le cerveau en améliorant l’axe intestin-cerveau [3]. Ainsi, sans pénétrer directement le crâne, on peut tout de même soutenir le cerveau grâce aux connexions systémiques du corps humain.

À domicile, comment procéder ? L’avantage des panneaux LED est leur facilité d’utilisation. Typiquement, il suffit de se placer à environ 15 à 30 cm des diodes du panneau et de l’exposer sur la zone cible pendant 10 à 20 minutes, plusieurs fois par semaine. Il est souvent conseillé de fermer les yeux ou de porter des lunettes de protection pendant la séance pour le confort, bien que la lumière rouge/NIR n’endommage pas les yeux (elle ne chauffe pas les tissus oculaires, à la différence de l’infrarouge lointain) [12]. La clé de l’efficacité est la régularité : des séances fréquentes et sur le long terme permettront aux neurones et vaisseaux de bénéficier continuellement de cet apport de lumière, maximisant les effets cumulatifs positifs.

Effet préventif : améliorer la santé vasculaire pour réduire le risque d’AVC

Subir un premier AVC augmente fortement le risque d’en connaître un second. Il est donc essentiel, pour les personnes à risque ou ayant déjà fait un AVC, d’adopter des mesures préventives. La luminothérapie infrarouge peut s’inscrire dans cette stratégie de prévention des AVC grâce à son impact sur certains facteurs de risque cardiovasculaires.

Tout d’abord, plusieurs études indiquent que la photobiomodulation peut aider à abaisser la tension artérielle de façon naturelle. Une étude de 2022 a observé que des séances de lumière rouge/infrarouge ont fait baisser l’hypertension chez des patients, entraînant ainsi une réduction durable de leur pression artérielle [4]. Or l’hypertension est l’un des principaux facteurs de risque d’AVC : en la contrôlant mieux, on diminue mécaniquement la probabilité d’accident vasculaire. Cette même étude suggère par ailleurs qu’en réduisant la tension, on pourrait également réduire le risque de maladies neurodégénératives comme Alzheimer [4]. Cela rejoint l’idée que maintenir une bonne santé vasculaire grâce à la luminothérapie pourrait protéger à la fois contre les AVC et contre d’autres atteintes cérébrales liées à une mauvaise irrigation sanguine.

Ensuite, comme évoqué précédemment, la lumière infrarouge favorise une circulation sanguine saine et une meilleure élasticité des vaisseaux. En entretenant la microcirculation cérébrale, on peut potentiellement éviter la formation de caillots sanguins ou de plaques qui provoquent un accident ischémique, c’est-à-dire un type d’AVC causé par l’obstruction d’un vaisseau cérébral. La lumière rouge a également démontré des effets neuroprotecteurs directs sur le tissu nerveux : elle active des voies cellulaires qui rendent les neurones plus résistants au stress oxydatif et aux toxines. Ainsi, utiliser régulièrement un panneau LED infrarouge pourrait, en théorie, abaisser le risque d’AVC chez les personnes prédisposées, en complément bien sûr des mesures médicales habituelles (suivi de la tension, traitement du diabète, cholestérol, etc.). Il est important de souligner que la luminothérapie ne se substitue pas aux traitements prescrits par le médecin, mais elle peut constituer un appui supplémentaire naturel pour garder le cerveau en bonne santé.

Enfin, un aspect innovant de la prévention par infrarouges concerne le lien entre la santé intestinale et les AVC. Des recherches récentes ont mis en lumière l’axe intestin-cerveau, montrant qu’un microbiote déséquilibré peut contribuer à l’inflammation systémique et aux maladies vasculaires, y compris les accidents cérébraux [5]. Ce lien suggère que la santé intestinale pourrait jouer un rôle clé en tant que facteur de risque modifiable, sur lequel il est possible d’agir en prévention. Or, il a été démontré qu’illuminer l’abdomen avec de la lumière infrarouge peut améliorer le microbiote intestinal et réduire l’inflammation chronique [6]. En d’autres termes, un panneau LED infrarouge appliqué sur le ventre pourrait renforcer la barrière intestinale et l’équilibre bactérien, ce qui aurait un effet en cascade bénéfique sur le cerveau (moins d’inflammation, moins de toxines circulantes). Cette approche holistique est très intéressante : en prenant soin de son intestin grâce à la photobiomodulation, on contribue indirectement à prévenir les AVC et d’autres maladies graves. Cela ouvre la voie à des protocoles de prévention globale, par exemple en alternant des séances de lumière sur le ventre et sur le crâne pour maximiser la résilience vasculaire et neurologique du patient.

Des bénéfices pour la récupération après un AVC

Subir un AVC, c’est souvent faire face à un ensemble de séquelles physiques et cognitives lourdes : paralysie ou faiblesse d’un côté du corps, troubles de l’élocution, perte de mémoire, problèmes de vision, fatigue extrême, sans oublier l’impact psychologique (dépression, anxiété, changements de personnalité). La rééducation traditionnelle (kinésithérapie, orthophonie, thérapie cognitive, etc.) est indispensable mais peut être longue et difficile. Pendant les mois de rééducation qui suivent l’AVC, il est essentiel d’agir aussi sur les habitudes de vie, en introduisant des pratiques de soutien simples et régulières. Les panneaux LED infrarouges, utilisés à domicile, s’inscrivent parfaitement dans cette démarche en apportant un soutien complémentaire aux thérapies conventionnelles. Voici comment la lumière rouge/infrarouge peut agir sur différents aspects de la récupération :

Amélioration des fonctions cognitives et psychologiques

Après un AVC, les patients peuvent souffrir de troubles cognitifs (difficultés de concentration, problèmes de mémoire, altération des fonctions exécutives) ainsi que de troubles psychologiques (anxiété, dépression, irritabilité). La photobiomodulation peut aider à atténuer ces symptômes. En augmentant la neuroplasticité et la perfusion du cerveau, la lumière infrarouge favorise le recouvrement des fonctions cognitives. Par exemple, une étude de 2021 sur des patients atteints de démence légère à modérée a montré que l’illumination transcrânienne par NIR deux fois par jour pendant 8 semaines a significativement amélioré les fonctions cognitives des patients [8]. Dès la première semaine, on notait un meilleur sommeil, et après 2-3 semaines de traitement, les patients présentaient moins d’anxiété, une humeur améliorée et plus d’énergie au quotidien [8]. Ces résultats suggèrent qu’un protocole similaire appliqué à des survivants d’AVC pourrait stimuler leur récupération cognitive et émotionnelle.

Sur le plan psychologique spécifique, une petite étude pilote a examiné l’effet de la lumière NIR sur l’anxiété et la dépression [7]. Dix patients ont reçu une seule séance de 4 minutes de lumière proche infrarouge appliquée sur le front. Deux semaines plus tard, 6 patients sur 10 rapportaient une réduction significative de leur anxiété et une amélioration de leur état dépressif [7]. Bien que cette étude ne portait pas exclusivement sur des patients AVC, elle démontre le pouvoir de la luminothérapie à apaiser l’anxiété et à améliorer l’humeur en agissant directement sur le cerveau émotionnel. Pour un patient AVC en proie à la dépression ou à l’angoisse suite à son accident, des séances régulières de lumière infrarouge pourraient ainsi apporter un mieux-être psychologique, facilitant d’autant sa participation active aux programmes de rééducation. De plus, en réduisant l’inflammation cérébrale et en améliorant la plasticité neuronale, la photobiomodulation peut potentiellement prévenir la démence vasculaire (détérioration cognitive due aux lésions d’AVC) chez les survivants, en maintenant un tissu cérébral plus sain sur le long terme.

Récupération motrice et physique accélérée

Les déficits physiques sont souvent les plus visibles après un AVC : paralysie ou faiblesse d’un membre, troubles de l’équilibre, grande fatigue à l’effort, etc. L’objectif de la rééducation motrice est de reconnecter le cerveau et les muscles, de renforcer ceux-ci et de retrouver le maximum de mobilité. La lumière infrarouge s’avère être une alliée précieuse dans ce processus. En effet, la photobiomodulation améliore la performance musculaire et la récupération physique. Des recherches dans le domaine du sport ont montré que s’exposer à de la lumière rouge/infrarouge avant et après un exercice permet de gagner de la force musculaire plus rapidement, de réduire la fatigue et d’accélérer la récupération des muscles sollicités [9]. Pour un patient en rééducation, cela signifie que des séances de luminothérapie combinées aux exercices de kiné pourraient optimiser le renforcement musculaire du bras ou de la jambe touchés par l’AVC, et réduire les douleurs ou crampes post-exercice.

Au niveau neurologique, une découverte majeure a été faite en 2007 : dans un essai clinique préliminaire (NEST-1), des patients ayant subi un AVC ischémique ont été traités avec de la lumière infrarouge (laser) sur la tête dans les 24 heures suivant l’AVC [10]. Les résultats, évalués 90 jours plus tard, ont montré que 70% des patients traités présentaient de meilleurs scores de récupération que le groupe contrôle n’ayant reçu qu’un placebo [10]. Ces améliorations significatives – encore perceptibles trois mois après l’AVC – suggèrent que l’apport de lumière très tôt après l’attaque cérébrale aide à sauver du tissu cérébral et à faciliter la rééducation. Même si cet essai utilisait un laser infra-rouge en milieu hospitalier, il ouvre la voie à l’utilisation de panneaux LED haute puissance sur les patients dans les jours qui suivent un AVC pour améliorer leur pronostic de rétablissement.

Même lorsque la luminothérapie est commencée plus tardivement, elle peut aider sur des problèmes moteurs persistants. Par exemple, en réduisant l’inflammation et en augmentant l’ATP dans les neurones moteurs, la lumière infrarouge peut diminuer la spasticité (raideur musculaire incontrôlée) et améliorer l’amplitude de mouvement des articulations affectées [10]. Des patients ayant des paralysies partielles ont aussi rapporté des progrès lorsqu’ils intégraient la photobiomodulation à leur routine de rééducation. En outre, l’épuisement et la fatigue chronique qui touchent de nombreux survivants d’AVC peuvent être soulagés par la lumière rouge/NIR : en boostant la production d’énergie cellulaire, elle aide le corps et le cerveau à mieux tolérer l’effort et à se remettre plus vite d’une séance de rééducation. Notons que la lumière bleue, souvent incluse en petite fraction dans les panneaux LED, agit via les yeux pour stimuler l’éveil et pourrait combattre la somnolence diurne, tandis que l’infrarouge via la peau recharge le corps en énergie physique [11].

Enfin, un domaine particulièrement encourageant est la régénération nerveuse. Si un AVC a endommagé certaines voies nerveuses (par exemple provoquant une neuropathie ou des douleurs neurologiques), la photobiomodulation peut contribuer à la réparation. Des expériences sur des modèles animaux de lésion nerveuse montrent que la lumière rouge réduit la douleur neuropathique et la mort des neurones, tout en modulant favorablement la réponse des cellules gliales (cellules de soutien du système nerveux) [11]. Mieux encore, une étude publiée en 2024 a démontré que l’utilisation d’un dispositif infrarouge (y compris implantable) favorise la repousse des fibres nerveuses et la récupération de fonctions perdues après une lésion de la moelle épinière [12]. Ces résultats précliniques suggèrent que la photobiomodulation active des mécanismes de régénération nerveuse autrefois jugés impossibles. Transposée aux lésions du cerveau dues à un AVC, cette propriété pourrait aider à reconnecter certaines zones cérébrales et à récupérer davantage de mobilité ou de sensibilité même longtemps après l’AVC. Bien sûr, la recherche doit continuer, mais l’ensemble de ces éléments laisse entrevoir un rôle thérapeutique global de la lumière infrarouge dans la réhabilitation des patients atteints de lésions neurologiques.

Des bénéfices pour la récupération après un AVC

Les panneaux LED BioMax de PlatinumLED : des atouts uniques face à la concurrence

Dans le domaine de la luminothérapie infrarouge, tous les appareils ne se valent pas. Les panneaux BioMax de la marque PlatinumLED se distinguent par leur efficacité et leur conception de pointe, ce qui leur a valu d’être classés meilleurs panneaux LED 2024 lors d’un comparatif indépendant ayant évalué plus de 12 marques différentes (test réalisé par l’expert Alex Fergus).
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Voici les principaux atouts des panneaux BioMax par rapport aux autres marques du marché :

  • Puissance d’irradiation inégalée : Les BioMax délivrent la plus haute énergie lumineuse de leur catégorie, assurant une pénétration optimale des photons dans les tissus. Cela signifie des séances plus efficaces et des résultats plus rapides, car suffisamment de lumière atteint les cellules cibles en profondeur. PlatinumLED est reconnu pour offrir des appareils à la fois très puissants et conformes aux normes de sécurité, permettant un usage sûr à domicile.
  • Spectre de lumière complet et optimisé : La série BioMax combine 5 longueurs d’onde complémentaires (2 rouges visibles et 3 infrarouges proches) dans un même panneau, couvrant un large spectre de 630 nm à 860 nm, plus des traces de lumière bleue et infrarouge lointain. Cette combinaison ciblée permet une action à plusieurs niveaux : la lumière rouge stimule les cellules cutanées en surface, favorisant la régénération de la peau, tandis que les infrarouges pénètrent en profondeur pour agir sur les tissus musculaires, nerveux et vasculaires. Peu de concurrents offrent un panel aussi complet couvrant autant de fréquences bénéfiques, ce qui confère aux BioMax une efficacité polyvalente (peau, muscles, circulation, cerveau…).
  • Fonctionnalités avancées et facilité d’utilisation : PlatinumLED innove constamment pour améliorer l’expérience utilisateur. La 8ème génération des panneaux BioMax intègre par exemple du NIR à 1060 nm (une longueur d’onde très profonde) en plus du spectre existant, ainsi qu’une part de lumière bleue pour des effets sur l’humeur et la peau. Les appareils BioMax proposent un système de connectivité pratique : ils peuvent se coupler entre eux, être contrôlés via une télécommande incluse ou une application mobile ergonomique (sans inscription requise). L’utilisateur profite d’une interface simple pour régler la durée, l’intensité ou sélectionner certaines longueurs d’onde spécifiques. De plus, la marque fournit différents supports de montage (pieds, poulies, racks) afin de positionner le panneau à la hauteur et l’angle idéal, que ce soit pour un usage ciblé (par exemple sur le front) ou pour un bain de lumière du corps entier.
  • Qualité, fiabilité et garantie : Les panneaux BioMax sont conçus avec des matériaux robustes et disposent d’une garantie de 3 ans, reflétant leur durabilité. Le rapport qualité-prix est excellent au vu des performances (un critère souligné dans le comparatif Alex Fergus). En choisissant BioMax, l’acheteur bénéficie aussi d’un support client prioritaire et de l’expertise d’un fabricant spécialisé de longue date dans la photobiomodulation. En 2024, ces panneaux ont dominé la concurrence sur des critères tels que la puissance mesurée, la sécurité électromagnétique (faibles émissions d’EMF), le niveau sonore réduit, et l’intégration technologique. Tout cela explique qu’ils ont remporté la première place lors du comparatif “Best Red Light Therapy Panel 2024” face à plus d’une douzaine d’autres marques sur le marché.

En résumé, si l’on souhaite profiter au maximum des bienfaits de la luminothérapie infrarouge pour prévenir les AVC ou soutenir sa récupération, les panneaux BioMax de PlatinumLED représentent un choix haut de gamme éprouvé. Leur combinaison unique de puissance, de spectre lumineux complet et de fonctionnalités innovantes en fait un investissement durable pour sa santé. Utilisés régulièrement, ils peuvent s’intégrer dans une stratégie globale visant à réduire le risque de récidive d’AVC, tout en améliorant la qualité de vie au quotidien. Ces panneaux permettent d’adopter facilement à domicile une routine de photobiomodulation efficace, comparable aux traitements utilisés dans les cliniques spécialisées.

FAQ

Est-ce que la lumière infrarouge peut prévenir les AVC ?

La lumière infrarouge peut contribuer à réduire certains facteurs de risque d’AVC, mais elle ne garantit pas à elle seule d’éviter un accident vasculaire. En améliorant la circulation sanguine et en aidant à contrôler l’hypertension de manière naturelle, la luminothérapie infrarouge peut potentiellement abaisser le risque d’AVC. Elle doit être vue comme un outil préventif complémentaire, en plus des mesures médicales (traitement de la tension, mode de vie sain). Des études suggèrent des effets neuroprotecteurs et vasodilatateurs de la photobiomodulation qui pourraient, à terme, aider à prévenir un AVC, surtout chez les personnes à risque. Cependant, il est important de continuer à suivre les recommandations médicales classiques, car la lumière infrarouge n’est qu’un élément additionnel de prévention et non une garantie absolue.

La luminothérapie infrarouge est-elle utile après un AVC ?

Oui, de plus en plus de recherches indiquent que la luminothérapie par LED rouge/infrarouge est bénéfique en rééducation post-AVC. Utilisée en complément des soins de réadaptation conventionnels, elle peut stimuler la récupération du cerveau et du corps. Concrètement, la lumière infrarouge peut réduire l’inflammation dans le cerveau, favoriser la réparation des neurones endommagés et augmenter l’apport sanguin aux zones touchées. Les patients ayant recours à cette thérapie après un AVC observent souvent une amélioration plus rapide de leurs fonctions motrices et cognitives. Par exemple, elle peut aider à retrouver de la force musculaire, à améliorer la mémoire ou la parole, et même à atténuer l’anxiété ou la dépression post-AVC. Bien que chaque cas soit différent, la photobiomodulation offre un soutien supplémentaire appréciable pour optimiser la rééducation après un AVC.

Quels sont les bienfaits de la lumière infrarouge pour le cerveau ?

La lumière infrarouge, par son action en profondeur, offre plusieurs bienfaits notables pour le cerveau. D’abord, elle stimule le métabolisme cellulaire cérébral : en pénétrant jusqu’aux neurones, elle augmente la production d’ATP (énergie cellulaire), ce qui aide les cellules du cerveau à mieux fonctionner, surtout après un stress comme un AVC ou un traumatisme. Ensuite, elle améliore la circulation cérébrale en dilatant les vaisseaux sanguins et en favorisant la formation de nouveaux capillaires. Un meilleur flux sanguin signifie plus d’oxygène et de nutriments pour le cerveau, ce qui peut améliorer la mémoire, la concentration et les fonctions exécutives. De plus, la photobiomodulation réduit l’inflammation cérébrale et le stress oxydatif, deux facteurs impliqués dans de nombreuses maladies neurologiques (AVC, Alzheimer, Parkinson). En somme, les bienfaits pour le cerveau incluent la neuroprotection (protection des neurones), la réparation neuronale accélérée et une optimisation des fonctions cérébrales (humeur, cognition, sommeil). Ces effets profitent tant aux personnes en bonne santé cherchant à optimiser leur fonction cérébrale qu’aux patients en convalescence neurologique.

Comment la lumière infrarouge améliore-t-elle la circulation sanguine cérébrale ?

La lumière rouge et infrarouge agit sur les vaisseaux sanguins grâce à un mécanisme appelé vasodilatation. En termes simples, lorsqu’on applique la lumière infrarouge sur la peau, elle est absorbée par les cellules endothéliales qui tapissent l’intérieur des vaisseaux. Cela provoque la libération d’oxyde nitrique (NO), une molécule qui induit le relâchement et la dilatation des artères et capillaires. Résultat : le diamètre des vaisseaux augmente, ce qui permet au sang de circuler plus librement et d’atteindre plus efficacement les tissus, y compris le cerveau. Dans le cerveau précisément, cette vasodilatation signifie une meilleure perfusion cérébrale. En outre, la lumière infrarouge favorise l’angiogenèse, c’est-à-dire la création de nouveaux petits vaisseaux sanguins. Ceci est particulièrement utile après un AVC, car la zone lésée a besoin de recréer des voies sanguines pour sa réparation. En améliorant la circulation cérébrale, la photobiomodulation assure que le cerveau reçoive l’apport optimal en oxygène et en nutriments, ce qui peut accélérer la récupération et améliorer les fonctions mentales (clarté d’esprit, vivacité intellectuelle). Cette meilleure circulation contribue aussi à éliminer les déchets métaboliques du cerveau, participant à un environnement cérébral plus sain.

Les panneaux LED infrarouges présentent-ils des risques ou des effets secondaires ?

Utilisés correctement, les panneaux LED infrarouges sont considérés comme sûrs et engendrent très peu d’effets secondaires. Contrairement aux lasers médicaux de forte puissance, les LED délivrent une lumière diffuse qui ne brûle pas et n’endommage pas les tissus. La lumière rouge et infrarouge proche n’est pas ionisante, elle n’a donc pas les effets nocifs des rayons UV ou des rayons X. La plupart des utilisateurs ne ressentent qu’une douce chaleur pendant la séance, sans inconfort. Quelques précautions toutefois : il est recommandé de protéger les yeux pendant une session (en fermant les yeux ou avec des lunettes teintées), car la lumière très vive peut être éblouissante même si elle n’est pas dangereuse pour la rétine sur de courtes expositions. Chez certaines personnes à la peau très sensible, une légère rougeur temporaire de la peau peut apparaître sur la zone exposée, mais elle disparaît généralement en quelques heures. Il est également conseillé de bien s’hydrater après une séance, car la photobiomodulation peut accélérer légèrement le métabolisme. En résumé, les effets indésirables des panneaux infrarouges sont minimes comparés à leurs bénéfices. En respectant les recommandations du fabricant (durée d’exposition, distance du panneau, fréquence des séances), cette thérapie est très bien tolérée. Néanmoins, comme pour tout traitement, il est préférable de demander l’avis d’un professionnel de santé en cas de condition médicale particulière (par exemple, si vous avez un stimulateur cardiaque ou si vous êtes enceinte) avant de commencer les séances de luminothérapie.

Références

  1. Hamblin, M.R. (2018). Photobiomodulation for traumatic brain injury and stroke. Journal of Neuroscience Research, 96(4): 731–743.
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  3. Blivet, G., Roman, F.J., Lelouvier, B., Ribière, C., et al. (2024). Photobiomodulation Therapy: A Novel Therapeutic Approach to Alzheimer’s Disease Made Possible by the Evidence of a Brain–Gut Interconnection. Journal of Integrative Neuroscience, 23(5).
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